Farewells is a mixed music piece in the form of a requiem which was composed for my uncle’s funeral in February 2018. The textual fragments are from Fernando Pessoa, all coming from his first English Sonnet. They tell the original incommunicability of being and the shortfalls of language. Thus it is through contemplation and reverence that the spontaneous rebellion of humans towards mysteries and death might found its sublimation. Farewells is a piece of music which takes part of that ritual, the one that achieves the linking of presence to existence, of life to death.
The cantus firmus are issued from Fuse (2007) and the electroacoustic choral is issued from the 2d movement of Le Surgissement du Réel (2018).
with Sara Notarnicola & Sirana Szterynski, voices.
click on the picture to listen
Farewells (2018) fixed media
A Date With Wind is a polygraphic recital for saxophone(s) & live-computer which was born after a fruitful premiere collaboration with Joël. The program is more or less flexible according to the performance circumstances as given durational frames though it is uncompromisely featuring cinematic-like built and thought musics that we like and wish to share.
The concert might exhaustively present : Marta Gentiluci's Exp.doc...et juv. (?), Bernard Cavanna's Goutte d'Or Blues, Julien Vincenot's Silent_Data_Corrupt, Jacopo Baboni Schilingi's Spatio Intermisso and Nicolas Jacquot's Une Autre Nuit.
with : Joël Versavaud, saxophones & Nicolas Jacquot, laptop
picture by Mathieu Mangaretto / Le Bus Digital
A Date With Wind is a polygraphic recital for saxophone(s) & live-computer which was born after a fruitful premiere collaboration with Joël. The program is more or less flexible according to the performance circumstances as given durational frames though it is uncompromisely featuring cinematic-like built and thought musics that we like and wish to share.
The concert might exhaustively present : Marta Gentiluci's Exp.doc...et juv. (?), Bernard Cavanna's Goutte d'Or Blues, Julien Vincenot's Silent_Data_Corrupt, Jacopo Baboni Schilingi's Spatio Intermisso and Nicolas Jacquot's Une Autre Nuit.
with : Joël Versavaud, saxophones & Nicolas Jacquot, laptop
picture by Mathieu Mangaretto / Le Bus Digital
Écriture poétique
Farewells (2018) fixed media
MARDI 6 AVRIL 2021
Farewells (2018) fixed media requiem
Venus (2018) for solo viola
Farewells (2018) fixed media
Farewells (2018) fixed media
Venus (2018) for solo viola
Farewells is a mixed music piece in the form of a requiem which was composed for my uncle’s funeral in February 2018. The textual fragments are from Fernando Pessoa, all coming from his first English Sonnet. They tell the original incommunicability of being and the shortfalls of language. Thus it is through contemplation and reverence that the spontaneous rebellion of humans towards mysteries and death might found its sublimation. Farewells is a piece of music which takes part of that ritual, the one that achieves the linking of presence to existence, of life to death.
The cantus firmus are issued from Fuse (2007) and the electroacoustic choral is issued from the 2d movement of Le Surgissement du Réel (2018).
with Sara Notarnicola & Sirana Szterynski, voices.
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Double Trouble performance is based on a reduced reading of the eponym novel which I had been writting during a serendipitous night of July 2017. It is accompanied by a fixed arrangement of recent works plus a special feature of Monte Cazazza's song A Gringo Like Me. The full tracklist includes :
The Jazzercises - Node I (2019)
Interlude I
We're (In) The Text - midi mockup (2017)
The Jazzercises - Mode I (2018)
Choral XXI - Showcase Showdown (2019)
Interlude II
The Jazzercises - Node II (2019)
Interlude III
*Monte Cazazza / A Gringo Like Me, extract (2010)
The Jazzercises - Mode VI (2019)
it was premiered on November 23, 2019 @ 2biS clothes shop-gallery in Marseille during the opening of the group installation Tu t'Uses Beauté ?
Double Trouble performance is based on a reduced reading of the eponym novel which I had been writting during a serendipitous night of July 2017. It is accompanied by a fixed arrangement of recent works plus a special feature of Monte Cazazza's song A Gringo Like Me. The full tracklist includes :
The Jazzercises - Node I (2019)
Interlude I
We're (In) The Text - midi mockup (2017)
The Jazzercises - Mode I (2018)
Choral XXI - Showcase Showdown (2019)
Interlude II
The Jazzercises - Node II (2019)
Interlude III
*Monte Cazazza / A Gringo Like Me, extract (2010)
The Jazzercises - Mode VI (2019)
it was premiered on November 23, 2019 @ 2biS clothes shop-gallery in Marseille during the opening of the group installation Tu t'Uses Beauté ?
* Activité 57 p. 120 : "Lire un graphique", MANUEL EUROMATHS CE2
Dictée
CALCUL
Vocabulaire : les synonymes
Vocabulaire : les synonymes
ANTIMANIFESTO
Parachevant ce petit cycle des 4 saisons par une réflexion sur les liens entre Art & Ordinaire (les quatre épisodes de la série Showroom ont eu lieu proche des deux solstices et des deux équinoxes de 2019), il nous a semblé avec Axelle Terrier qu'il serait très compliqué en restant dans l'analyse d'apporter à cet édifice théorique une nouvelle pierre qui pèserait, disons, un poids spécifique. Les liens entre Art & Ordinaire, ou symétriquement Art & Extra-ordinaire, sont multiples, très commentés et, on s'en aperçoit rapidement, consubstantiellement contradictoires, c'est-à-dire que les deux bouts présentent sûrement autant d'éléments véraces. Est-ce le confinement de ce printemps-Covid 2020 qui nous a rendu fainéants et résignés au point de ne pas pousser l'investigation qui peut-être alors nous ferait pencher ? La profusion de l'information en général et des analyses systématiques en particulier qui brassent le sens et les avis pêle-mêle et tout azimut finiraient par décrédibiliser et démotiver nos candides entreprises de formalisation ? Non, sûrement pas, et il semble au contraire y avoir une urgence à faire le tri, à livrer et partager ses propres tris, c'est-à-dire son enthousiasme, sa révolte et son intelligence intime des choses, car après tout si cela s'avère candide, on aura d'autant plus l'occasion par la rencontre de changer ses avis grâce à des intelligences de choses et des tris qui auront été livrés par d'autres. Versatilité, fraîcheur, qu'impliquent le combat contre les "Reptiles de l'esprit". Voilà ni plus ni moins la rengaine du harpiste.
Dans un premier temps, lorsque nous avons sondé à la volée quelques rapports dialectiques entre Art & Ordinaire, un très large éventail de références apparaissait, constituant rapidement autant d'abordages possibles et insolubles. Ou difficilement solubles dans le sens d'une synthèse des idées et ensuite dans l'idée d'apporter à cet édifice théorique une nouvelle pierre qui pèserait un poids spécifique. Sans quoi, sans doute, mieux vaut quand même se taire.
Que ce soit au travers de la question de la fonction de l'art dans la société, une question éminemment trans-historique, culturelle et sociale, de celle qui entend distinguer ontologiquement statut de l'artiste passionné-amateur du statut de l'artiste professionnel-passionnant, aux pensées philosophiques de Stanley Cavell sur l'ordinaire, à la théorie esthético-littéraire de Gérard Genette à travers la figure de l'anti-métalepse (définie par lui non plus comme l'apparition de l'artiste dans son œuvre, grosso modo la métalepse, mais à l'inverse l'apparition de l'œuvre, ou la rétroactivité de l'œuvre, sur la vie même de l'artiste), il y avait déjà là trop de matière impossible à délaisser. Qui plus est, de là, de l'antimétalepse, s'ouvrait encore d'autres perspectives, et pas des moindres, celles des mouvements situationnistes, de l'art contextuel, de l'esthétique relationnelle, du statut de la performance en général, etc ...
Cet effort là, c'est certain, n'était pas vraiment à notre portée. Toutefois, preuve en est, ceci ne resta pas sans provoquer quelques effets... Pour ma part je penchais sans balancer du côté de l'extraordinaire, de l'artiste magicien, de l'art qui graduellement peut divertir, pervertir, subvertir, parfois convertir. Or c'est cette idée de parenthèses, très liée à l'achèvement et à la clôture, et plus qu'une idée, ce ressenti même des seuils d'entrée et de sortie dans la création et sa réception, qui me fait réviser ce penchant. C'est aussi le rapport au rituel, aux dispositifs, le rapport de l'art à la transcendance. Cette éviction de l'ordinaire par le régime transcendant donc, y compris, et même "qui plus est", quand la transcendance se dépouille au maximum d'artefacts et des transformations de choses de l'ordinaire pour s'y tenir à la fois au plus prêt et au plus "haut", cette éviction je la trouve désormais un peu simple, peut-être d'une mystique pragmatique un peu facile, je ne sais pas. Je manque de lectures. Quitte à se positionner plus tard. En même temps personne ne nous demande rien. Et alors ? Bref, c'est immense, c'est rude, de vaciller sans pencher.
Je suis retombé donc sur cette Vision Mémorable du Mariage du Ciel et de l'Enfer de William Blake, la rengaine du harpiste, la dispute si affreuse et si tendre entre l'ange et le poète. Et enfin depuis on s'est accordé avec Axelle, et on a fait ensemble Antimanifesto, une œuvre à part entière, une pièce sonore sur une lecture de William Blake, avec un vidéo clip. Après coup, j'ai même pensé que Antimanifesto sonnait pile-poil entre Antipesto (Wallace & Gromit) et Manifesta (2020) la biennale qui débute cet été à Marseille, et alors ça m'a fait du bien. C'est ainsi, parfois de drôles d'efforts entraînent de drôles d'effets.